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est un signe propositionnel.
est un signe propositionnel.


(Le «&nbsp;signe de jugement&nbsp;» frégéen «&nbsp;<math>\vdash</math>&nbsp;» est dépourvu de signification logique; il montre simplement chez Frege (et Russell) que ces auteurs tiennent pour vraies les propositions ainsi désignées. «&nbsp;<math>\vdash</math>&nbsp;» n'appartient donc pas davantage à la construction propositionnelle que, par exemple, son numéro. Il n'est pas possible qu'une proposition dise d'elle-même qu'elle est vraie.)
(Le «&nbsp;signe de jugement&nbsp;» frégéen «&nbsp;<math>\vdash</math>&nbsp;» est dépourvu de signification logique&nbsp;; il montre simplement chez Frege (et Russell) que ces auteurs tiennent pour vraies les propositions ainsi désignées. «&nbsp;<math>\vdash</math>&nbsp;» n'appartient donc pas davantage à la construction propositionnelle que, par exemple, son numéro. Il n'est pas possible qu'une proposition dise d'elle-même qu'elle est vraie.)


Si la suite des possibilités de vérité dans le schéma est une fois pour toute fixée par une règle de combinaison, la dernière colonne suffit à exprimer les conditions de vérité. En écrivant cette colonne sous forme de ligne, le signe propositionnel devient&nbsp;: «&nbsp;(VV–V) (p,q)&nbsp;» ou plus clairement&nbsp;: «&nbsp;(VVFV) (p,q)&nbsp;». (Le nombre des places dans les parenthèses de gauche est déterminé par le nombre des membres dans celles de droite.)
Si la suite des possibilités de vérité dans le schéma est une fois pour toute fixée par une règle de combinaison, la dernière colonne suffit à exprimer les conditions de vérité. En écrivant cette colonne sous forme de ligne, le signe propositionnel devient&nbsp;: «&nbsp;(VV–V) (p,q)&nbsp;» ou plus clairement&nbsp;: «&nbsp;(VVFV) (p,q)&nbsp;». (Le nombre des places dans les parenthèses de gauche est déterminé par le nombre des membres dans celles de droite.)


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